DĂ©goĂ»tĂ©e par lâaccueil de ce jour: on me demande dâaller chercher ma piĂšce dâidentitĂ© avec un ton dĂ©daigneux, ce que je comprends parfaitement car si ce sont les rĂšgles je nâai rien contre. Je repars donc en vitesse et ce malgrĂ© que je sois Ă 9 mois de grossesse. Je reviens et la secrĂ©taire me voit, et elle me paraĂźt occupĂ©e le menton sur une pile de fioles. Je me tiens lĂ , patiente et au bout dâun moment comme jâavais marchĂ© et ne supporte plus de me tenir debout je mâassieds et vais Ă la salle dâattente attendre quâelle soit libre. Elle me voit et me dis « ah vous ĂȘtes revenue » auquel je rĂ©ponds oui en espĂ©rant quâelle me dise juste « venez alors ». Une autre personne vient la voir et elle le reçoit. Alors elle nâĂ©tait plus occupĂ©e mais ne mâa Ă aucun moment proposĂ© de venir: jâĂ©tais lĂ avant et elle savait pertinemment quâil me manquait juste ma piĂšce dâidentitĂ© et que personne ne mâavait reçu encore. Je le lui fait remarquĂ© et elle me dit juste « quâelle avait aussi dâautres analyses externes Ă traiter ». Mais jâĂ©tais dĂ©jĂ lĂ avant, câest clairement juste quâelle ne souhaitait pas me recevoir, je ne mâattendais pas un traitement de roi, je souhaitais juste quâelle soit au moins polie et correcte!
Ensuite on me demande de payer pour des analyses, ce que je conçois. Mais Ă aucun moment elle ne mâexplique que ces analyses mettraient 1 semaine. Câest celle qui mâa fait la prise de sang qui mâen informe. Si jâavais su je ne les aurais pas fait car vu lâĂ©tat dâavancement de ma grossesse, jâaurai sĂ»rement accouchĂ© avant que les analyses ne reviennent. On ne mâa mĂȘme pas proposĂ© de mâenvoyer les analyses partielles, câest moi qui ai dĂ» deviner que je pouvais les demander.
Pour ma part ce fut une malheureuse expĂ©rience, moi qui avait lâhabitude de faire mes analyses dans un autre laboratoire du mĂȘme groupe, je pensais avoir droit Ă un accueil et un droit Ă lâinformation identique. Rien que pour lâaccueil je dĂ©conseille fortement, peut-ĂȘtre Ă voir dans le temps. En tout cas pour lâinstant jâen suis dĂ©goĂ»tĂ©e.